Plutôt
que de donner aux rues des noms de « grands hommes », on devrait
peut-être leur donner des noms de maladies, histoire de rappeler au
monstre bipède ce qui l'attend s'il ne file pas doux. Les « grands
hommes » n'en auraient cure (ils n'en feraient pas une maladie) vu qu'ils
sont comme cela s'appelle « décédés ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)