Quand
on lit du Rimbaud ou qu'on écoute du Mozart, on ne peut s'empêcher de
penser : « Je t'en fais autant ». Mais pas quand on lit du Luc Pulflop ou
qu'on écoute du Bach !
(Fernand Delaunay, Glomérules)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)