Stimuli

 

Entendre Samson François jouer du Chopin, c'est comme manger des moules au lard ou contempler une paire de « biberons Robert » : on a des frissons presque partout. C'est un peu comme si on faisait une « crise de palu ».

 

(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)

Un odieux stratagème

 

Quand un Polacre veut que vous caressiez un chien, il vous dit quelque chose du style : « Tchèba pogouascatch tègo psa. » C'est le moment ou jamais d'être sur ses gardes. Cela peut être un stratagème pour vous faire écouter du Chopin ou lire du Mickiewicz !

 

(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)

Wypijmy brudzia, co nie

Quand un Polacre vous propose de « wypić brudzia », méfiez-vous. Il veut fraterniser. Et fraterniser avec un Polacre... Souvenons-nous de Chopin, de la comtesse Hańska, de Henryk Sienkiewicz, de Marie Curie, de Robert Gadocha, du roi Stanislas Leczinski... Tous ont fait preuve à un moment ou à un autre d'une fourberie que l'on pourrait sans exagération qualifier d'asiatique. C'est attesté.

 

(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)

Ô ma patrie !

 

Quand on pense à la quantité de souffrance qui existe à chaque instant dans le monde, on est envahi par une immense tristesse de Chopin.

 

(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

Être un félin

 

Heureux chats, qui ignorez la tristesse de Chopin, qui ne connaissez que deux états : le courroux et la satiété !

 

(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)