C'est
durant les dernières années de sa vie, quand il était paralysé sur son « matelas-tombeau », que Heinrich Heine a écrit ses poëmes les plus
déchirants. Et maintenant, il y a des pots de pisse qui lisent ça pour
se distraire. Ils se donnent des sensations et s'émeuvent devant le « beau » et le « sublime ». Ô monstre bipède !...
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)