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mardi 24 décembre 2024

Justice pour Adamov !

 

Le dramaturge Adamov est injustement oublié. Pourquoi joue-t-on Beckett et Ionesco mais pas Adamov ? C'est systémique ou quoi ?
 
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

Stratégie risquée

 

Émile Cioran a joué gros jeu en appelant le démiurge un mauvais démiurge. S'il y a un au-delà, un jugement dernier, etc., le gars Mimile va entendre parler du pays. Et un autre qui risque de se faire appeler Arthur, c'est Adamov, avec son théâtre de l'absurde. Parce que ça nous étonnerait que le démiurge apprécie beaucoup qu'on tourne ainsi en ridicule sa création.
 
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

mercredi 27 mars 2024

Bègles

 

On s'habitue aux noms des villes et l'on finit par ne plus voir à quel point certains sont d'un absurde camusien, beckettien, ionesquien et adamovien, au premier rang desquels... Bègles ! Il faudrait refuser de dire Bègles, et alors on verrait. Bègles ! Bègles !
 
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)

dimanche 10 décembre 2023

Sournoiserie de l'absurde véritable

 

Les Beckett, Ionesco, Adamov et consorts ont voulu épater le bourgeois avec leur absurde, mais c'est un absurde de pacotille, entièrement théâtral. Le véritable absurde est beaucoup plus sournois. Il se niche au cœur d'un carré de romsteak, parfois même dans une simple assiette de pilchards.
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

dimanche 1 janvier 2023

Justice pour Adamov !

 

« Injustement méconnue aujourd'hui, l'œuvre théâtrale, poétique et critique d'Adamov n'en reste pas moins essentielle. »

(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)

jeudi 29 décembre 2022

Romsteak de l'absurde

 

Les auteurs du « théâtre de l'absurde » ont fait fausse route. Leur absurde est trop fabriqué et puéril. Le « réel » offre pourtant assez de possibilités en ce domaine, c'est le moins qu'on puisse dire. Ces Ionesco, ces Beckett, ces Adamov ont-ils jamais contemplé un carré de romsteak ? Dans leur assiette ? Au restaurant ? Je t'en foutrai des cantatrices chauves et des Godot, moi, tuouaouar !

(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)