Dans le recueillement et la concentration, l'homme se
saisit dans son écrasante solitude. Qu'il persévère, qu'il pénètre plus
avant dans le mystère de son intériorité, le voici animé, s'abreuvant à
la source d'eau vive qui ruisselle en lui : le pachynihil.
(Lucien Pellepan, Énantioses profectives)