Dans
le temps, il y avait dans les autobus des places « réservées aux mutilés
de cul ». Pourquoi n'y en a-t-il plus ? C'était pourtant bien pratique — et pas seulement pour les mutilés de cul, mais pour les « handicapés
de la vie » en général, qui pouvaient s'y reposer un instant des tracas
de l'existence.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)