Ces
gens qui, comme le peintre Eugène Boudin, demandent à mourir « face à la
mer » et se font transporter à Deauville pour y pousser leur dernier
soupir, on aimerait les souffleter. À quoi bon faire tant de chichis ?
Et qui croient-ils abuser, avec leur « mer » ? Mer ou pas mer, quand il
faut y aller, il faut y aller. — Je t'en foutrai de mourir face à la
mer, moi, tuouaouar !
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
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