Le mobile de l'être est se propulser dans le non-être, à l'ombre d'un bouleau au feuillage bien fourni, vers 13h00, allongé sur un sol moussu et dans un élan néantisant, comme ceci:
Et hop! Je dors.
L'être est ce bel élan ultime contre soi.
(Il est à noter que l'être échoue à chaque fois, vers 14h00, en atterrissant piteusement à nouveau en lui-même, et dans le réel, par-dessus le marché.)
Le mobile de l'être est se propulser dans le non-être, à l'ombre d'un bouleau au feuillage bien fourni, vers 13h00, allongé sur un sol moussu et dans un élan néantisant, comme ceci:
RépondreSupprimerEt hop! Je dors.
L'être est ce bel élan ultime contre soi.
(Il est à noter que l'être échoue à chaque fois, vers 14h00, en atterrissant piteusement à nouveau en lui-même, et dans le réel, par-dessus le marché.)
Oui, cela aussi est vrai...
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