Le
renoncement prend parfois la forme de médicales fougères (avec
lesquelles il est doux de caresser son âme), parfois celle d'âcres
tubercules (qu'il faut mâcher consciencieusement et qu'on avale en
faisant la grimace).
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
Parfois, on se drape dans son renoncement, cela ne manque pas d'allure.
RépondreSupprimerEn effet.
SupprimerBelle fractale en tout cas que cette fougère aigle.
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