Que
veut l'homme, en fin de compte ? C'est simple : l'homme veut être
traduit par Boris de Schloezer. Mais pour ça, il faudrait déjà qu'il « ponde » quelque chose de valable en russe. Et quand on ne parle pas
russe...
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
La plupart du temps un individu a plus de chance d'être traduit en justice qu'en russe.
RépondreSupprimerBel aphorisme !
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