Quand
on lit Le Procès, La Métamorphose ou Joséphine la cantatrice, on ne
peut s'empêcher de se demander si Kafka ne fumait pas de la « beuh » ou du « shit » pour inventer des histoires aussi baroques. Cela ferait de lui
un précurseur de Jacques Kérouac et des poëtes de la « Beat Generation »,
et ce ne serait pas très glorieux. Encore heureux qu'il ne consommait
pas des « champis » ou du péyote. Cela eût fait de lui un successeur de
George Sand ou un précurseur du « Mômo » !
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
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