Quand
on lit du René Char ou du Philippe Delerm — la gorgée de bière !!! —, le moins qu'on puisse dire est qu'on le sent passer. On éprouve des
attaques convulsives pendant lesquelles la respiration est difficile et
la sensibilité presque totalement abolie. La vue se perd, la pupille
reste largement dilatée. La marche, la station debout même deviennent
difficiles. L'amaigrissement fait des progrès rapides et l'on succombe
bientôt dans le marasme.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
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