La
pipistrelle possède quatre dents incisives à la mâchoire de dessus et
dix à la mâchoire de dessous, ce qui faisait dire à Thomas Bernhard que
cet animal « incarne idéalement la crétinité
catholico-national-socialiste ». Comme à l'accoutumée, le style de
l'écrivain est ici marqué par les particularités du souffle d’un
poitrinaire, se déployant selon un rythme effréné et haletant, avec
heureusement des temps ici et là pour reprendre haleine.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
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