Les
écrivains japonais font trop « jore ». Ils veulent à tout prix faire
savoir au vulgum pecus qu'ils sont japonais. Ils farcissent leurs
ouvrages de cerisiers dont les fleurs perdent leurs pétaux. Au bout d'un
moment, cela fatigue et l'on aimerait que ces auteurs parlent de choses
normales (non japonaises, sans cerisiers ni pétaux).
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
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