Qu'il
est difficile de vivre quand on souffre d'angoisse kierkegaardienne...
Cette oppression... Et cette sensation de vertige à la simple pensée
qu'on va devoir se livrer à une « action »... Pire que tout, une « action »
impliquant un contact avec le « monstre bipède »... Non, parole, ce n'est
pas marrant.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)