Fidèle à
l'enseignement de Tchouang-tseu, on essaie de rester impassible face à
toute perte et tout changement, et on y arrive plus ou moins.
Tchouang-tseu nous avait promis qu'on entrerait alors dans l'initial
ciel pur et qu'on assisterait à l'apparition et à la disparition des
phénomènes infinis, mais va te faire fiche : tout ce qu'on voit, c'est
le faciès hippopotamesque d'une mégère qui nous demande si on a « bientôt
fini de déconner ». Merci Tchouang-tseu.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)