Ce
besoin, chez l'homme, de « créer » (des concepts ou autre chose)... Déjà
l'ineffable homme des cavernes... Avec ses bouts de silex et ses « peintures rupestres »... Après, il ne faut pas s'étonner de la mauvaise
tournure qu'a prise la « réalité empirique ». Il y avait déjà assez
d'horreurs comme ça dans le « réel », pourtant. Ne serait-ce que les
insectes...
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire