Quand,
dans son Gai savoir, Nietzsche prêche l'amor fati, on pourrait croire
qu'il vient de gagner au loto. Hélas ! En réalité, ce que le destin lui a
octroyé, ce n'est pas une grosse somme d'argent mais une
encéphalomyopathie mitochondriale acidose lactique pseudo-épisodes
vasculaires cérébraux. N'empêche, dans le destin, il trouve qu'il y a du
rythme, il y a de la vitalité, c'est ça qu'il adore. Il aime bien
Djadja, il aime bien Doudou, il aime bien Hypé, il aime bien tout, en
fait.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
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