« Réveille-toi, homme du nihil, de ce sommeil de mort
Dans lequel t'a plongé la réalité empirique. »
Dans lequel t'a plongé la réalité empirique. »
Ainsi commence l'hymne national de l'homme du nihil.
(Fernand Delaunay, Glomérules)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
(Fernand Delaunay, Glomérules)
(Fernand Delaunay, Glomérules)