Voulant
fuir le monde moderne et ses émanations toxiques, on se plonge dans une
anthologie de la poésie anglaise romantique, et l'on est aussitôt
frappé par une évidence : entre Coleridge, Wordsworth et Shelley,
c'était à celui qui écrirait le poëme le plus guez.
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)