« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
mardi 8 janvier 2019
Vertus médicinales du cloporte
13 octobre. — Selon la Pharmacopée de Londres, les cloportes doivent être enfermés dans une toile claire, et suspendus au-dessus de l'esprit-de-vin chaud, dans un vaisseau bien fermé, jusqu'à ce que la vapeur les ait fait mourir, et rendus secs et friables. La Pharmacopée d'Édimbourg, en revanche, préconise d'enfermer les cloportes dans un vaisseau convenable, et de les exposer à une chaleur fort modérée, jusqu'à ce que ces insectes soient secs. Dans ces deux procédés, d'après M. William Lewis (Connoissance pratique des médicamens les plus salutaires), « les cloportes deviennent également propres à mettre en poudre, sans qu'il y ait à craindre qu'ils perdent rien de leurs vertus ». — Mais quant à savoir quelles sont ces vertus, M. Lewis n'en dit mot, non plus que de celles des « pattes d'écrevisses de mer ou homarts », de la « tuthie », du « succin », ou de la « graisse de vipère ».
(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire