Au
dire de son fils Michel, le peintre Monet non seulement ne termina pas
son dernier tableau, mais il le lacéra à coups de couteau. Il en avait
marre de la peinture. Il trouvait ça « con ». Les formes, les couleurs,
les « bon Dieu de nymphéas », il en avait soupé. Il n'aspirait plus qu'à
une chose : le Rien.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Moi aussi j'ai lacéré le dernier tableau de Monet, quelle amusante coïncidence. PS : Salut Fernand. J'espère que tu passes par là et que ton palais se régalera comme le mien de ces petites délices nées, pourrait-on dire, du Désastre. Amitiés. Natacha
RépondreSupprimerCâlice ! Vous êtes un peu dure à suivre ! Mais c'est très bien comme ça, c'est intéressant.
Supprimer