Dans
son Poëme lu au mariage d'André Salmon, Guillaume Appolinaire exhorte
l'étant existant à se réjouir parce que, dit-il, « l'amour veut
qu'aujourd'hui mon ami André Salmon se marie ». Seulement voilà, l'étant
existant s'en tamponne le coquillard, du mariage d'André Salmon. Il a
d'autres soucis, l'étant existant — à commencer par sa propre
mortalité. Alors au cul, André Salmon ! Au cul, le mariage d'André
Salmon ! Merde alors !
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
A un mariage un jour j'ai dit le poème de Blaise Cendrars, qui commence par "quand tu aimes il faut partir". C'était quitte ou double.
RépondreSupprimerÇ'a dû être un moment "malaisant".
SupprimerPas tant que ça, j'avais briefé les mariés !
RépondreSupprimerLes mariés, hein ?
SupprimerAprès tout c'est leur problème. Voilà bien une mésaventure qui ne m'est jamais arrivée.
SupprimerVous avez eu le nez creux (contrairement à certain que je ne citerai pas).
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