Il
est tout à fait possible de couper les ponts avec l'autrui lévinassien.
Il suffit de rester chez soi et de vivre, comme cela s'appelle, en
autarcie (par exemple en cultivant des betteraves). L'autrui lévinassien
ne peut alors plus vous atteindre, il doit exercer sa vilenie ailleurs
et ça le fait bisquer.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
Souvent, on a simplement envie qu'on nous laisse tranquille. Mais même ça, ce n'est pas gagné.
RépondreSupprimerEn effet. Et c'est pourtant "le plus important" (to timiotaton).
SupprimerTrouvé un texte de Benjamin Fondane en lien avec "to timiotaton", et des entretiens avec Léon Chestov. Je vais m'empresser de lire ça.
SupprimerChestov et Fondane. En effet.
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