Ce n'est pas pour rien que les
Anciens voyaient en la femme une créature satanique. Sa méchanceté, la
joie qu'elle éprouve à faire le mal, son attirance pour les choses
pernicieuses (les fameux « magazines féminins »), tout cela porte
indubitablement la marque du « prince des ténèbres ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)