Après
sa rencontre avec l'homme du nihil, André Frossard le caractérisa ainsi : « De profil, il fait penser à une bête du désert morte de dégoût. Son
crâne, qui rappelle celui de l'hyène, est pourvu d'une large mâchoire
qui semble idéalement adaptée à l'usage qu'il en fait, à savoir mordre
le fondement de l'historialité du Dasein. »
(Fernand Delaunay, Glomérules)