Les « lettres d'adieu » en témoignent : la proximité de la mort transfigure
le « conscient intérieur » et estompe sa dimension contingente de réelle
fioriture.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)