Maurice
Blanchot passe pour un homme grave et même austère, mais il paraît que
dès qu'il était seul, il se lâchait et faisait le « golmon ». D'après
Roland Barthes, il est arrivé plus d'une fois que Georges Bataille ou
Pierre Klossowski se présentent chez lui alors qu'il faisait le « golmon »
et lui disent : « Alors Maurice ? On fait le golmon ? »
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)