Hermann
Oldenberg observe que les bouddhistes conçoivent le nirvana comme un
lieu où les êtres libérés se reposent, un genre de « canapé-lit
métaphysique » comportant une « housse amovible ».
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)