On
peut être charmé de la narration de Tite-Live, de la pénétration de
Salluste, de l'exactitude de Tacite, et cependant trouver que la vie « pue du cul ». D'un autre côté, à moins d'être né, on ne peut lire ni
Tite-Live, ni Tacite, ni Salluste. Qu'est-ce qui vaut le mieux ?
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)