Comme
le dit Lémery, la répugnance qu'on a à avaler des poux contribue
peut-être plus à chasser la fièvre que le remède même. Eh bien avec
l'autrui lévinassien, c'est la même chose. On ne l'avale pas, on le
cotoie, et il ne fait pas tomber la fièvre, il la renforcerait plutôt,
mais c'est la même chose.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)