Il
paraît qu'on peut apaiser le courroux du ciel par un sacrifice
expiatoire dont la victime n'est pas la personne qui a encouru la haine
de la divinité. Ce serait à essayer, pour voir. Parce que subir sans
discontinuer le courroux du ciel, c'est tout de même pénible. Et
justement, nous connaissons une mégère difforme au faciès d'hippopotame
qui pourrait faire l'affaire. Avec un garagiste de La Bourboule en
prime.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)