Les
routiers dont parle José-Maria de Heredia dans son poëme Les
Conquérants, on les imagine au volant de leur « gros cul » et on ne peut
s'empêcher de frissonner à la pensée qu'ils conduisaient ivres (d'un
rêve héroïque et brutal).
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)