lundi 24 décembre 2018

Végétation


La nature selon Gragerfis : « une immense et comme invincible réserve de forces femelles, à la fois passives, sournoises et voraces ». Dans son Journal d'un cénobite mondain, l'infatigable polygraphe confie que ce déchaînement lent et silencieux lui a toujours causé « une peur atroce ».

(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)

1 commentaire:

  1. Je sais enfin maintenant pourquoi j'aime immodérément la nature.

    J'ai depuis toujours cette envie d'être dévoré par des forces femelles.

    Attention, l'autophagie ne me déplaît cependant pas.

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