C'est
souvent « en s'occupant de numismatique » que venaient à Rozanov les
pensées les plus bizarres (sur la causa formalis d'Aristote, le
positivisme comtien, les hésitations d'Abraham, les « demi-talents » de
Marie Bashkirtseff, et cætera). Pour le nihilique, c'est un peu
différent. La pensée d'ingurgiter du taupicide ou de se pendre avec ses
bretelles lui vient ordinairement « en allant chercher les journaux le
matin ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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