jeudi 2 novembre 2023

Deux satyres

 

Quand on lit du Hugo — Les Misérables, Les Contemplations, n'importe —, on ressent une certaine gêne à lire des phrases agencées par un satyre. Et pareil avec Flaubert. La salacité notoire de ces auteurs donne à leur œuvre quelque chose de répugnant. Surtout, cette salacité nous fait voir en eux des êtres peussédiques et même « fucking peussédiques », comme le sont les maniaques de tout poil.
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

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