Réfléchir
est toujours une affaire risquée, mais la pensée est particulièrement
néfaste au littérateur, car elle l'affaiblit et lui ôte les forces
nécessaires à la coction et à l'expectoration des vocables.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)