Le
monstre bipède n'a ni morale ni esthétique, par contre il boulotte tout
le temps. Si on le laissait faire, il n'hésiterait pas à dévorer des
bélougas, des narvals, des phoques et des restes d'animaux dont le chien
et le cheval. Il engloberait dans sa voracité solipèdes et fissipèdes,
le salop.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)