« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 10 décembre 2018
Brodequins
19 août. — Dans le supplice des brodequins, les jambes étaient rapprochées à l'aide de cordes, après avoir été assujetties chacune entre deux planchettes de chêne ; ensuite, le bourreau introduisait à coups de maillet, entre les ais du milieu, des coins de fer ou de bois dont le nombre dépassait huit dans certains cas. Les jambes devenaient informes et les os brisés laissaient échapper la moëlle.
(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire