Quand
on est de Bezons et qu'on possède une âme (ou équivalent), il est
fréquent que cette âme soit, comme la poésie d'Alfonsina Storni,
« voilée d'une douce et terrible noirceur » et « envahie par deux images
obsédantes : la mer et la mort ». Mais la mer, à Bezons, ce n'est pas
la porte à côté. Alors...
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)