Quand
on y réfléchit, la mort, ce n'est pas grand chose. On pourrait presque
l'appeler une « vétille ouatée ». Elle rafraîchit l'air à l'entour, comme
les rayons de la pluie dans une chambre noire. — Enfin... « jore ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)