On
lit du Luc Pulflop, on va se promener en forêt, on boit dans une humeur
contemplative un petit verre de taupicide, et puis on se couche pour
s'endormir et ne plus jamais se relever.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)