Il
faut s'habituer à la tristesse. Vivre avec — tout en faisant « jore »
qu'on est heureux. Pour ça, la première condition est de ne pas
ressasser les jours anciens, surtout quand sonne l'heure. Sinon, on
risque de se mettre à chialer comme une madeleine.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)