La
vie du nihilique ressemble à un roman d'Agatha Christie. Le nihilique
joue le rôle du cadavre (vivant) et le vocable zingibéracé celui
d'Hercule Poirot. Le suspense est à son comble, on retient son souffle,
mais ce n'est qu'à la dernière page qu'on saura qui a fait le coup
(c'est le juge Wargrave).
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)