Pécressiste
avant l'heure, le sceptique Pyrrhon avait tout à la fois le courage de
dire et la volonté de faire. À ce propos, Diogène Laërce rapporte qu'« il
gardait constamment la même manière d'être, en sorte que si on le
quittait au milieu d'un entretien, il continuait son discours pour lui
seul ».
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)