Le
printemps est synonyme d'ennuis. On est submergé par tout un pataquès
de feuilles et de bourgeons. Comme dirait Dostoïevski, on souffre, et
d'autant plus qu'on ne sait pas pourquoi. Il y a trop de vie, là-dedans.
Ça grouille et ça suinte. C'est peut-être ça.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)