Pour un peintre de la Renaissance, le comble de l'opprobre était de se faire enguirlander par le Ghirlandaio. Mais y échapper n'était pas facile, car pour un rien il vous accusait de « gâcher les pigments ». Et c'était parti : cretino, bastardo, coglione, testa di cazzo... Il avait du vocabulaire, le Ghirlandaio.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

















