Tous
ceux qui ont étudié le dandysme ont sous-estimé voire complètement
ignoré l'importance du cervelet. C'est pourtant à son cervelet que le « monstre bipède » doit de pouvoir faire des ajustements posturaux
dynamiques, et diriger ses membres pour effectuer un mouvement
déterminé. Le cervelet n'est pas à l'origine du mouvement, certes, mais
il contribue à la coordination, à la synchronisation et à la précision
des gestes. Sans cervelet, point de dandy.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)