D'après
Pappus d'Alexandrie, la courbe liminale de la chrysalide est une
conchoïde de Nicomède, c'est-à-dire une courbe d'équation polaire rho =
(a / cos theta) + d où a est la distance du pôle à la directrice. Selon
le même Pappus, il est quasi impossible de rendre cette courbe plus
rigide par des chants et des rites magiques.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)